La pépite niçoise du secteur de la mobilité s’allie à Zoov pour proposer une offre intégrant désormais les vélos électriques.

Combiner les différents modes de déplacement doux, c’est l’ambition de ce partenariat entre la scale-up niçoise Vulog et Zoov, opérateur européen de vélos électriques en libre-service. Un bon coup de collier pour le développement de services de mobilité durable et multimodale. Cette alliance permettra aux deux entreprises françaises, toutes deux reconnues pour leurs innovations dans le secteur de la mobilité, de diversifier leur offre auprès de clients existants ou potentiels. Concrètement, les vélos électriques Zoov seront intégrés à la technologie de partage de véhicules de Vulog, AiMa (Artificial Intelligence Mobility Applied). Ainsi, les utilisateurs pourront combiner le vélo électrique partagé et d'autres modes de transport (voiture, scooter, métro, bus…) dans un même trajet afin d'arriver à leur destination rapidement, en toute sécurité et en limitant leurs émissions polluantes. Une solution simple permettant «d’accélerer le développement de la micromobilité et des services multimodaux», assure Gregory Ducongé, CEO de Vulog.

En plus de profiter des vélos électriques Zoov, les clients Vulog pourront utiliser les stations «ultra-compactes» permettant de garer, et de recharger, jusqu’à 15 vélos sur une place de parking voiture. «Le vélo électrique offre un potentiel sans équivalent en milieu urbain car il permet de couvrir la plupart des trajets en ville, souvent inférieurs à 10km, sans effort», expliquent les deux partenaires qui espèrent ainsi «offrir plus d’options de transport» pour «décongestionner les routes» et «réduire la pollution des villes».

La société Vulog

Fondée à Nice en 2006, Vulog développe des technologies de mobilité partagée. Sa plateforme de mobilité de partage AiMA (Artificial Intelligence Mobility Applied) permet services de partage de véhicules de manière simplifiée et centralisée. Vulog figure dans le classement 2019 et 2020 Global Cleantech 100, guide annuel recensant les 100 entreprises ayant «le plus de potentiel pour relever les défis de demain en matière de technologies propres».